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700 litiges traités en 2024 dans l'Oise par l'UFC-Que choisir : « des dossiers de plus en plus complexes »
700 litiges traités en 2024 dans l'Oise par l'UFC-Que choisir : « des dossiers de plus en plus complexes »

Le Parisien

time4 days ago

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700 litiges traités en 2024 dans l'Oise par l'UFC-Que choisir : « des dossiers de plus en plus complexes »

C'est souvent vers eux que l'on se tourne lorsque l'on est empêtré dans un litige commercial. Implantés depuis 50 ans dans l' Oise , les bénévoles de l'UFC-Que Choisir défendent les consommateurs du département dans les conflits qui les opposent à des enseignes commerciales. Un rôle qui n'a fait que prendre de l'ampleur au fil des années. « Nous n'avions que deux personnes il y a trois ans pour traiter les litiges, aujourd'hui nous sommes six à le faire, indique Jean-Marie Dorée, président de l 'UFC-Que Choisir Oise. En 2024, nous avons traité plus de 700 dossiers, lesquels deviennent de plus en plus complexes. Notre fédération nous demande de tout prendre en compte, même les simples demandes de conseils, ce qui explique aussi la hausse du nombre de cas. »

Les prix des fournitures scolaires «se maintiennent à un niveau élevé», estime l'UFC-Que Choisir
Les prix des fournitures scolaires «se maintiennent à un niveau élevé», estime l'UFC-Que Choisir

Le Figaro

time15-07-2025

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Les prix des fournitures scolaires «se maintiennent à un niveau élevé», estime l'UFC-Que Choisir

«Le gros conseil, c'est vraiment de ne pas faire ses achats à la rentrée, même si c'est tentant d'attendre les consignes des professeurs», relève Noé Baudoin, chargé des études à l'UFC-Que Choisir. Après une légère baisse en 2024, les prix des fournitures scolaires enregistrent cette année une hausse de 2%, selon une estimation communiquée mardi par l'association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir, qui pointe une flambée attendue début septembre. «Globalement, les prix des fournitures scolaires se maintiennent à un niveau élevé», explique Noé Baudoin, chargé des études à l'UFC-Que Choisir, dans le sillage de «la forte hausse intervenue en 2023.» Sur 118 produits analysés par l'association entre début juillet 2024 et début juillet 2025, 41 ont vu leurs prix augmenter de 2% ou plus, 23 ont enregistré une baisse d'au moins 2%, et 54 sont restés stables. Selon l'association, la hausse de 10% en 2023 du prix des fournitures, due à l'envolée des tarifs des matières premières - notamment de la pâte à papier et du pétrole - n'a jamais été complètement effacée alors que le coût de ces matières est «revenu au plus bas». «Quand les matières premières flambent, les prix sont directement impactés. En revanche, on ne l'observe pas vraiment sur les prix en rayons quand elles baissent», regrette Noé Baudoin. Publicité Autre enseignement de l'étude: le moment des achats a un impact significatif sur le budget. Les prix ont tendance à légèrement baisser au cours de l'été mais connaissent un pic au moment de la rentrée, début septembre. «Le gros conseil, c'est vraiment de ne pas faire ses achats à la rentrée, même si c'est tentant d'attendre les consignes des professeurs», relève Noé Baudoin.

Stages, bourses, prêts à taux zéro… Comment l'Eure-et-Loir chouchoute ses futurs médecins
Stages, bourses, prêts à taux zéro… Comment l'Eure-et-Loir chouchoute ses futurs médecins

Le Parisien

time15-07-2025

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Stages, bourses, prêts à taux zéro… Comment l'Eure-et-Loir chouchoute ses futurs médecins

Le département d'Eure-et-Loir déploie sa politique de santé, une compétence qui ne lui est pourtant pas dévolue. Mais, comme ailleurs en France, la population attend des améliorations tangibles. Selon une étude sur la fracture sanitaire en France publiée en décembre 2023 par l'UFC-Que Choisir, 33 000 Euréliens, soit 7,6 % de la population, vivaient dans ce qu'il est convenu d'appeler un désert médical , et plus de 50 % des habitants reconnaissaient rencontrer des difficultés à accéder aux soins. Le conseil départemental, réuni le 23 juin en session plénière, a donc renforcé son « Pacte Eure-et-Loir Santé », entré en vigueur le 4 novembre 2024 pour favoriser l'accès aux soins de tous ses habitants. Parmi les mesures complémentaires qui ont ainsi été adoptées se trouve la création d'une allocation de frais de stage destinée aux étudiants de 2e et de 3e cycles d'études de médecine. Les étudiants en médecine générale et en odontologie pourront en particulier obtenir une bourse de 10 000 euros, en échange d'un engagement à exercer en Eure-et-Loir pendant au moins cinq ans après l'obtention de leur diplôme. Pour attirer de nouveaux professionnels de santé déjà formés, un dispositif d'accompagnement et de financement va aussi être mis en place progressivement, dès cet été. Ils pourront notamment accéder à un prêt à taux zéro (jusqu'à 50 000 euros) pour financer leur installation. Depuis la signature du « Pacte Eure-et-Loir Santé », auquel se sont associés l'Agence régionale de la Santé, la région Centre-Val de Loire, la Caisse primaire d'assurance maladie et d'autres acteurs, le département revendique l'installation de 13 professionnels de santé dans l'ensemble du territoire. Sans médecin traitant, Geneviève Lacour, une habitante du sud du département, doute de l'efficacité de ces mesures : « J'ai l'impression que tout ce qui a été annoncé apportera des résultats à moyen ou à long terme. Pour l'instant, je suis en bonne santé, mais qu'en sera-t-il le jour où je déclinerai ? Or, à mon âge, ça peut arriver très vite. C'est très inconfortable pour moi et mon mari, et nos enfants sont inquiets », témoigne cette septuagénaire. Comme elle, 22,5 % des Euréliens déclarent aujourd'hui encore ne pas être suivis par un médecin traitant.

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